Benoît est un croquemort clandestin.
Benoît n’est pas lui-même.
Benoît est pauvrement garni de soleil.
Benoît est soupe autant que poireau.
Benoît n’est pas ploutocrate contestataire.
Benoît est le huitième vœu des sœurs sauvages.
Benoît est salé.
Benoît est humide.
Benoît n’est pas sans allusions.
Benoît est un arbre centenaire.
Benoît est un sac de sable.
Benoît est trois fois.
Benoît est l’affinage du tissu indu.
Benoît n’est pas l’escalier de son propre Georges.
Benoît est grand, mais surtout jaune.
Benoît est allumé par la carte de l’Antalice.
Benoît est la place du souvenir étroit.
Benoît est sacrément humanoïde.
Benoît est pirate, depuis l’avènement du calice.
Benoît n’est pas cruel, mais n’est pas cruel.
Benoît est la flamme du chandelier.
Benoît est ignifugé salle de couchage.
Benoît est par ma foi, Jean-Claude.
Benoît est la même chose que l’autre, mais en la retournant de l’intérieur.
Benoît est un travers sans cesse, un peu oublié de ses sinus.
Benoît est.
Benoît n’est pas.
Benoît est, sans blague, la plume de cheval.
Benoît est un poil.
Benoît est si indifférent à la course du pinacle.
Benoît est une fois par ci par là, l’invention qui le bouleversa dès sa naissance.
Benoît est unilatéralement conquis sous l’impulse de son emphase.
Benoît est un apogée du chancre d’un capitalisme.
Benoît est l’allégation charismatique antédiluvienne.
Benoît n’est pas le croquemort clandestin.
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