mercredi 30 novembre 2011

Stop.

Je vais commencer à être désagréable — ta PRÉSENCE INSUPPORTABLE.

Tu vois ? Tu commences à comprendre. Retourne chez ton chien laver les pavés. Récure les dents de ta mère. Mange ta merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Merde. Franchement, tu vas sauter d'une falaise. Mais tu ne vas pas t'écraser, atterrir dans les marécages de Crassefange. Tu y passeras le restant de tes jours. Recrache les vers de tes joues. Tu commenceras à te transformer en merde. Tu vas te débattre et puis tu vas pourrir dans les miasmes, sucer ta putréfaction. Tu seras chair décomposée. Tu te souviendras de ta mère et puis tu te liquéfieras dans un immonde gargouillis.

Tu sais quoi ? Ce que tu racontes, rien à branler. Je sais ce que tu vas dire et ça ne m'intéresse pas. Ta vie de cafard : ta gueule, grosse merde. Retourne chez tes pairs. Je veux pas te voir ici. Ton existence est une erreur. Erreursuicide. Tu me fatigues.

Allez, ça suffit maintenant.

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