mercredi 9 novembre 2011

"Mon intelligence me pourrit la vie"

Heureux comme un Shague, il volait. Kléber était un ours, Kléber savait se faire semonce lorsque le tonnerre engourdissait la fange alentour. Ce qu'il aurait aimé, Kléber, c'était + complément. La tournure lui plaisait, et pourquoi pas sauter une ligne, Kléber. Il attendrait le temps qu'il faudrait, mais le ferait, il en était sûr - Kléber.
Il n'avait pas ce qu'ont d'ordinaire les faibles et les ours, mais ne l'avait pas, de façon à plagier l'unique destinataire de son récit. Kléber. Kléber qui distinguait mieux que tout autre les ours des espaces infinis, ce qu'il trouvait CHOUETTE. Le calembour était fin, Kléber se gaussa. Montre-Karl-Friedrich, mais aussi, il le savait bien, narine. D'ailleurs, il éternuait lorsque retentissait

la concordance - Gainsbourg, moins opaque. Kléber, ooooh oui Kléber, avait conscience de son vanishment et aimait à se pencher vers la droite de façon à tomber du côté qui rappelle ce comédien aux pas ambitieux qui cherchait ses pieds, verser une larme, tant de TROGNES gâchées - pourquoi ? Du haut de son Discours sur les Races, il volait.

2 commentaires:

  1. Vous voilà donc comblé
    Au creux de tous ces mois qui sans cesse finissent
    Et qui toujours à l'âme rappellent sa stupeur
    Vous suffoquiez, perdu
    Et voilà où nous sommes
    Alors que se déversent les amers embruns
    Dans la coque anthracite du continent conquis
    Nous renaissons sans lieu
    Sans parole et sans teint
    Et désormais se taisent les promesses aveugles
    S'achèvent comme les pleurs nos transports incertains
    Tandis qu'en nous se gèle
    Ce qui hurlait d'angoisse.

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  2. Oh, ta gueule. TA GUEULE TA GUEULE TA GUEULE.

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