Je te le répèterai jusqu'à ce que tu le comprennes. Car je ne t'imagine même pas vivre une vie saine sans même savoir quelle est ta nature profonde.
J'affirme que, si le surhomme existe bel est bien tel que nous le décrit ma bite, le monde est pourtant rempli de sous-êtres. Je te crache dessus. Cesse de me lire, tu me salis. Ta pourriture m'affecte même de loin, je te déteste autant que tu es ignorant. Tu devrais être déjà mort, car tu ne mérites pas de vivre. Tout le monde devrait le savoir : vivre, c'est se rouler avec exaltation dans la fange, et ne pas s'y traîner comme toi, laborieusement.
Gros tas de proste. La beauté ne te frappe-t-elle donc jamais, que tu restes là à te plaindre, juché sur ton tas de crasse ? Ton œil et tes oreilles sont-ils donc si fermés ? Tu me dégoûtes, j'ai envie de t'exterminer. De t'apprendre à crever, toi qui traverses la vie comme un ivrogne, insensible aux fractures de l'existence. Je te déteste pour ton ébriété, aveugle que tu es.
Le pire est que je parle en vain. Tu ne peux pas comprendre. C'est
Et puis merde.
Chie dans ton chien, bouffissure de Juif.
Pour voir comment ça fait.
RépondreSupprimerVOUS NOUS MANQUEZ, MICHELS.
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