Hier soir j'étais au devant du balcon. Que ça te plaise ou, je ne suis pas le peuple.
Ils jouaient comme des planches, ce n'est pas le problème.
Quand la grosse pute au début a présenté le spectacle, elle a lâché un léger « pour ceux qui ne seraient pas habitués à ce genre de concerts, je vous rappelle de ne pas applaudir entre les mouvements, pour ne pas déconcentrer les musiciens ». J'ai attendu les claps suants de plébéisme.
J'ai eu raison. Voilà. Ai-je besoin de préciser que le gros des chiasses venait du poulailler où s'était agglutinée la masse des enfants de pauvres ? On devrait leur en interdire l'accès.
Je leur pisse à la gueule. Non parce qu'ils applaudissent, ils ont besoin de manifester, ce sont des singes. C'est que ces sous-êtres ont relégué tout respect au fond de leur marais puant et n'ont pas accordé un poil d'attention respecté du discours de la grosse.
Je me suis levé, je suis monté sur scène et je les ai insultés. Ils ont eu peur. On m'a sorti à coups de gorilles, mais j'ai eu le temps de frapper deux enfants. Je n'y retournerai plus.
Quand je donne une chance à la plèbe, elle me souille de son incurable bêtise.
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